AVOIR LA FOI EN DIEU ... CROIRE EN JESUS CHRIST


Le temps est compté.

Première épître aux Corinthiens (7.29 ~ Traduit du grec) :

« Je dis ceci, frères, parce que le temps est compté. »

LA BIBLE

AU QUOTIDIEN

Lecture du

8 Septembre


Bon nombre, parmi les premiers chrétiens, avaient le sentiment que le retour de Jésus était imminent.

De ce fait, le temps à passer sur cette terre leur semblait restreint et il ne fallait pas s'attarder sur des considérations liées à cet état de vie transitoire.

Paul invite ses contemporains à ne pas s'attacher à ce monde.

« Désormais, que ceux qui ont une femme soient comme n’en ayant pas. Que ceux qui pleurent soient comme s'ils ne pleuraient pas.

Que ceux qui se réjouissent soient comme s'ils ne se réjouissaient pas et ceux qui achètent comme s'ils étaient dépossédés. » (versets 29 & 30)

Il a insisté sur le fait de s'en tenir à la condition dans laquelle chacun fut appelé :

« Que chacun demeure dans la condition de son appel. » (1 Corinthiens 7.20)

« Frères, que chacun demeure devant Dieu comme il était lors de son appel. » (1 Corinthiens 7.24)

Marié ou célibataire, maître ou esclave, riche ou pauvre ... l'apôtre exprime dans ce passage de sa lettre aux Corinthiens sa volonté de relativiser ces questions afin de privilégier cette question fondamentale :

Sommes-nous prêts pour le Royaume de Dieu ?

Que Jésus revienne demain ou dans mille ans ne doit, en fin de compte, pas changer notre attitude.

Tout ce que nous vivons dans cette existence comporte un caractère relatif ou passager.

Si nous nous attachons à cet état, nous passons à côté de l'essentiel.

La vie terrestre n'est qu'un pâle reflet de la vie éternelle.

« Si c’est seulement pour cette vie que nous espérons en Christ, nous sommes les plus pitoyables de tous les hommes. » (1 Corinthiens 15.19)

Devons-nous pour autant nous laisser aller en considérant cette vie avec mépris ?

Ce n'est probablement pas la volonté du Seigneur.

Certes la vie terrestre demeure limitée.

Mais elle est aussi un formidable terrain d'entrainement pour évaluer nos capacités à vivre selon la voie tracée par Jésus Christ.

Sachons donc, ainsi, en apprécier le moindre moment sans pour autant s'y attacher.

Le temps

Retour en page d'accueil


Conseils aux veufs et célibataires

Première épître aux Corinthiens

Traduit du grec : versets 7.25 à 7.40

25. Concernant les vierges, je n’ai pas d’ordre du Seigneur, mais je donne un avis comme un homme qui, ayant reçu du Seigneur miséricorde, peut être digne de confiance.

26. Je pense donc qu'il est bon, à cause des temps difficiles, oui, il est bon à un homme d’être ainsi.

27. Es-tu lié à une femme ? Ne cherche pas la rupture. N’as-tu aucune attache envers une femme ? Ne cherche pas de femme.

28. Pourtant, si tu te maries, tu ne pèches pas. Et si la vierge se marie, elle ne pèche pas. Mais ces personnes auront des tribulations dans la chair, et je voudrais vous les épargner.

29. Je dis ceci, frères, parce que le temps est compté. Désormais, que ceux qui ont une femme soient comme n’en ayant pas.

30. Que ceux qui pleurent soient comme s'ils ne pleuraient pas. Que ceux qui se réjouissent soient comme s'ils ne se réjouissaient pas et ceux qui achètent comme s'ils étaient dépossédés.

31. Que ceux qui profitent du monde soient comme s'ils n’en profitaient pas, car la figure de ce monde passe.

32. Je veux que vous soyez sans inquiétude. Celui qui n’est pas marié se soucie des affaires du Seigneur et cherche comment plaire au Seigneur.

33. Par contre celui qui est marié se soucie des affaires du monde et cherche comment plaire à sa femme.

34. Et il est partagé ! De même, la femme sans mari et la vierge se soucient des affaires du Seigneur, afin d’être saintes de corps et d’esprit. Par contre, celle qui est mariée se soucie des affaires du monde et cherche comment plaire à son mari.

35. Je dis ceci dans votre intérêt. Je le dis non pas pour vous prendre au piège, mais afin de bien vous tenir dans l'assiduité auprès du Seigneur, sans être partagé.

36. Si quelqu'un craint manquer de retenue envers la vierge qui lui est destinée, pris d'un désir ardent et souhaitant qu'il en soit comme il le veut, qu'il le fasse, qu'ils se marient, il ne commet pas de péché.

37. Cependant, celui qui reste ferme dans son cœur, qui a toute autorité sur sa propre volonté, et qui a décidé dans son for intérieur de respecter la virginité de sa fiancée, celui-là fera bien.

38. Ainsi, celui qui épouse sa fiancée fait bien, et celui qui ne l'épouse pas fera encore mieux.

39. Une femme est liée à son mari pour autant qu'il vit. Si le mari meurt, elle est libre d'épouser qui elle veut, mais seulement dans le Seigneur.

40. A mon avis, elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est. C'est ce que je pense, ayant moi aussi l'Esprit de Dieu.

Première épître aux Corinthiens
8.1 à 8.13 >>>