Evangile de Jésus Christ

Universalité et évangélisation




Bien souvent, Jean le baptiste figure comme un révélateur, un précurseur du Messie.

Par sa prédication, Jean s'inscrit dans le prolongement du prophète Ésaïe (40.5) qui annonçait bien avant : « Ainsi, toute chair verra le salut de Dieu. » (Luc 3.6)

« Toute chair ... », cette prophétie portait en soi l'universalité car elle visait l'ensemble de l'humanité et non, seulement, le peuple juif.

« Par tous ces moyens, et bien d'autres exhortations, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle. » (Luc 3.18)

Jean le baptiste a ouvert ainsi la voie de l'évangélisation, de la diffusion de la « Bonne Nouvelle ».

1. Jésus et l'Evangile.

1.1. Quand Jésus s'engage.

Puis Jésus s'est manifesté ...

« Il disait que le temps était accompli et que le Royaume de Dieu s'était approché :

Convertissez-vous, et croyez en l'Evangile ! » (Marc 1.15)

Jésus s'est engagé sur la voie de l'évangélisation.

« Il proclamait la bonne nouvelle du Royaume et guérissait le peuple de toute maladie et de toute infirmité. » (Matthieu 4.23)

Dans un premier temps, Sa prédication s'est limitée aux Israélites, allant de villes en villes ...

« Allons ailleurs, dans les bourgades voisines, afin que j’y prêche aussi. Je suis venu pour cela. » (Marc 1.38 et Luc 4.43)

Cependant, dès le début Jésus a élargi le champ de Son évangélisation.

Il ne suffisait pas d'annoncer la Bonne Nouvelle aux Juifs considérés comme honorables mais à l'ensemble de ceux qu'Il pouvait rencontrer :

« En effet, je ne suis pas venu appeler des justes mais les pécheurs. » (Matthieu 9.13 - Marc 2.17 - Luc 5.32)


1.2. L'ouverture au monde païen.

Très rapidement, Jésus a pu constater que de nombreux Juifs, du moins ceux qui se croyaient justes mais se révélaient profondément injustes, n'étaient pas disposés à L'écouter.

Une femme allait marquer le tournant de Son ministère ...

« Cette femme était grecque, d'origine syro-phénicienne. Elle Lui demanda d'expulser le démon hors de sa fille. » (Marc 7.26)

Dans un premier temps Jésus lui a répondu :

« Je n’ai été envoyé que pour les brebis perdues de la maison d’Israël.

Il n’est pas bon de prendre le pain des enfants pour le jeter aux petits chiens. » (Matthieu 15.24-26 et Marc 7.27)

La réponse de cette femme fut décisive :

« Oui, Seigneur, aussi les petits chiens mangent-ils les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. » (Matthieu 15.27 et Marc 7.28)

L'humilité alliée à la foi de cette femme lui valut d'être entendue par Jésus.

Le principe de l'ouverture au monde païen était acquis !

Cela va être illustré par des paraboles, comme celle du repas des noces, où l'on voit les premiers invités se défiler ...

« Le Royaume des cieux est semblable à un roi qui fit des noces pour son fils.

Il envoya ses serviteurs appeler ceux qui étaient invités aux noces. Mais ils ne voulaient pas y aller. » (Matthieu 22.2-3 et Luc 14.18)

Ces premiers invités représentent les Juifs, le peuple élu de la première alliance, qui n'ont pas reconnu Jésus comme Fils de Dieu.

De ce fait, le Fils se tourne vers le reste du monde, comme nous l'indique aussi la parabole des vignerons :

« Aussi je vous dis que le Royaume de Dieu vous sera enlevé et sera donné à une Nation qui produira Ses fruits. » (Matthieu 21.43 - Marc 12.9 - Luc 20.16)


1.3. Une nouvelle alliance.

Le Royaume de Dieu était destiné, dans le cadre de la première alliance, prioritairement aux descendants de Jacob-Israël.

Mais le tournant de l'ouverture aux païens conduit Jésus à illustrer cette transition par des allégories ...

« Personne n'applique un morceau de tissu neuf sur un vieux vêtement ; car la pièce ajoutée au vêtement s'arrache et la déchirure devient pire. » (Matthieu 9.16 - Marc 2.21 - Luc 5.36)

« De même, on ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres ; car à coup sûr les outres se déchirent, le vin se répand et les outres sont perdues. Mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et les deux se conservent. » (Matthieu 9.17 - Marc 2.22 - Luc 5.37)

Bien peu comprenaient le sens de ces messages, mais Jésus annonçait ainsi le passage de l'ancienne alliance à une nouvelle alliance.

Quand Jésus se présenta en disant « Moi, je suis le bon berger », Il exposa l'universalité de Son ministère dans le cadre de la nouvelle alliance :

« Le bon berger donne sa vie aux brebis.

J’ai d’autres brebis qui ne sont pas de cet enclos. Celles-là, il me faut les conduire. Elles entendront ma voix et formeront un seul troupeau pour un seul berger. » (Jean 10.11-16)

« Un seul troupeau pour un seul berger », mais pour y parvenir, il fallait que le « bon berger donne sa vie aux brebis. ».


1.4. Le sang de l'alliance.

Car c'est par le sacrifice du Berger, par Son sang, que sera conclue la nouvelle alliance :

« Je suis venu jeter le feu sur la terre, et comme je voudrais qu'il soit déjà allumé !

Car je dois être baptisé d'un baptême, et combien je suis pressé qu'il s'accomplisse. » (Luc 12.49-50)

Jésus allait être crucifié ... mais Il était pressé que cela s'accomplisse !

Ce serait Son baptême du feu ...

« L'heure est venue pour que le Fils de l'homme soit glorifié.

Oui, à vrai dire, si le grain de blé tombé en terre ne meurt, il reste seul. Mais s'il meurt, il portera beaucoup de fruit. » (Jean 12.23-24)

La perspective de porter du fruit suite à Son sacrifice résultait du plan de Dieu conçu pour le salut de l'humanité.

« Quant à moi, quand je serai élevé de la terre, je les attirerai tous. » (Jean 12.32)

Et lors du dernier repas, celui de la Cène, Jésus dit aux apôtres :

« Puis, ayant pris une coupe et rendu grâce, Il leur donna en disant :

Buvez-en tous ! Car ceci est mon sang, celui de l'alliance, répandu pour une multitude en vue du pardon des péchés. » (Matthieu 26.27-28 - Marc 14.24 - Luc 22.20)

2. Les disciples et l'Evangile.


2.1. Des pêcheurs d'hommes.

C'était de simples pêcheurs ... mais aussi des pécheurs devant Dieu comme chacun d'entre nous.

« Venez à ma suite, et je ferai de vous des pêcheurs d'hommes. » (Matthieu 4.19 - Marc 1.17 - Luc 5.10)

Ils étaient issus du peuple, des gens simples, et non des scribes ou des lettrés.

L'invitation que Jésus a lancée aux premiers apôtres était claire : vous lancerez vos filets pour répandre l'Evangile autour de vous.

Au début, ils n'étaient qu'une poignée ...

« Par la suite, Il se rendit de villes en villages. Il proclamait et annonçait la bonne nouvelle du Royaume de Dieu avec les Douze.

Il y avait aussi quelques-unes des femmes guéries d'esprits mauvais et de maladies ... » (Luc 8.1-2)

Par la suite, ils seront des milliers !


2.2. La formation du Maître.

Tous les disciples ont besoin d'un maître pour être formés.

Jésus allait leur apprendre comment évangéliser :

« Ne jugez pas afin que vous ne soyez pas jugés.

Ne donnez pas ce qui est sacré aux chiens et ne jetez pas vos perles devant les porcs ...

Demandez et il vous sera donné, cherchez et vous trouverez, frappez et on vous ouvrira. » (Matthieu 7.1-7)

Mais ces conseils devaient être portés par plus de disciples :

« La moisson est grande, mais les ouvriers sont peu nombreux.

Priez donc le Seigneur de la moisson afin qu'Il fasse sortir des ouvriers dans sa moisson. » (Matthieu 9.37-38)

Plus d'ouvriers, et des ouvriers pleinement dévoués à leur Maître !

« Si quelqu'un veut me suivre, qu'il se renie lui-même, qu'il porte sa croix et qu'il me suive. » (Matthieu 16.24 - Marc 8.34 - Luc 9.23)

Pour ceux qui s'engagent ainsi, une vie itinérante commence, sans toit, rompant les liens avec ce monde ...

« Suis-moi et laisse les morts enterrer leurs morts. » (Matthieu 8.22 et Luc 9.60)

Un engagement difficile à vivre :

« Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, son épouse, ses enfants, ses frères, ses sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. » (Luc 14.26)

En retour, Jésus leur accorde Sa confiance, mais les résultats attendus doivent être à la hauteur de la confiance du Maître :

« Car on donnera à celui qui a tout fait, et il sera dans l’abondance. Par contre, celui n’ayant rien fait, on lui enlèvera même ce qu’il a. » (Matthieu 25.29 et Luc 18.26)


2.3. La mission des disciples.

« Guérissez les malades, réveillez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement. » (Matthieu 10.8)

Manifestement, quand Jésus envoya Ses douze apôtres, ceux-ci avaient été revêtus d'une puissance similaire à celle dont Lui-même disposait.

Dans ces conditions, nul besoin de s'équiper de biens matériels car le Seigneur pourvoirait à tout !

« Ne possédez ni or, ni argent, ni sou de bronze dans vos ceintures.

Ne prenez pas de besace pour la route, ni deux tuniques, ou sandales, ou bâton. » (Matthieu 10.9-10 - Marc 6.9 - Luc 9.3)

Ils allèrent ainsi de villes en villes et Luc 10.1 évoque une autre mission similaire ...

« Le Seigneur désigna ensuite soixante-douze autres disciples et les envoya deux par deux devant Lui dans toute ville et lieu où Il devait aller Lui-même. »

Douze dans un premier temps, soixante-douze dans un second temps, soit six fois plus, nous voyons ainsi se concrétiser le développement de l'Evangile par la croissance du nombre de disciples envoyés en mission.

Jésus n'en demeurait pas moins l'initateur du processus :

« Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. » (Jean 9.5)

Mais sachant qu'Il quitterait ce monde, il importait que les disciples prennent le relais ...

« Vous êtes la lumière du monde.

On n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau mais sur le chandelier, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.

Que brille ainsi votre lumière devant les hommes de sorte qu'ils voient vos bonnes œuvres et glorifient votre Père dans les cieux. » (Matthieu 5.14-16 - Marc 4.21 - Luc 8.16)

Et parmi les œuvres accomplies pour glorifier le Seigneur, des femmes, comme Marie de Béthanie qui versa le contenu d'un vase de parfum sur Jésus, méritent aussi notre attention ...

« A vrai dire, là où cette bonne nouvelle sera proclamée, dans le monde entier, on évoquera aussi le souvenir de ce que fit cette femme. » (Matthieu 26.13 et Marc 14.9)

« Dans le monde entier ... », car Jésus savait qu'Il enverrait Ses disciples aux quatre coins de la terre ...

« Comme Tu m'as envoyé dans le monde, je les envoie de même dans le monde. » (Jean 17.18)

Jésus a prononcé ces paroles avant Son sacrifice en s'adressant au Père, puis Il a renouvelé Son ordre de mission après Sa résurrection en s'adressant cette fois aux disciples :

« Comme le Père m'a envoyé, je vous envoie. » (Jean 20.21)

Et cet ordre de mission a été décliné comme suit par les évangélistes :

« Allez donc faire des disciples de toutes nations. Baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. » (Matthieu 28.19)

« Allez dans le monde entier, proclamez l'Evangile à toute la création. » (Marc 16.15)

« On proclamera en son nom la conversion et la rémission des péchés à toutes les nations, en commençant par Jérusalem. » (Luc 24-47)

Mais attention, évangéliser le monde nécessite de faire preuve de discernement.

Or, l'esprit sectaire allait ronger l'édifice de l'Eglise, bien que Jésus nous ait mis en garde sur ce point :

« Celui qui n’est pas contre nous, est pour nous. » (Marc 9.40 et Luc 9.50)

Le plan de route était tracé, il faudra le suivre avec persévérance pour porter du fruit.

A défaut, si l'arbre ne porte pas de fruit ...

« Seigneur, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.

Alors, il aura peut-être du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas. » (Luc 13.8-9)

Le fruit viendra en son temps, certains se convertiront dans leur jeunesse, d'autres dans leur vieillesse, quoi qu'il en soit la récompense sera la même pour tous :

« Appelle les ouvriers, et remets-leur le salaire, en commençant par les derniers jusqu'aux premiers.

Ceux de la onzième heure qui se présentèrent reçurent chacun un denier.

En arrivant, les premiers pensaient recevoir davantage, mais ils reçurent aussi chacun un denier. » (Matthieu 20.8-10)

Etonnante conclusion que nous livre Jésus :

« Ainsi les derniers seront premiers, et les premiers seront derniers. » (Matthieu 20.16)

Sur la ligne d'arrivée, ceux qui croyaient mériter plus seront peut-être déçus, mais la grâce, le salut est unique !


2.4. Perspectives pour les disciples.

Jésus s'est exprimé à plusieurs reprises sur les perspectives de l'évangélisation, de la croissance de la semence.

Quoi qu'il en soit, le plan de Dieu s'accomplira sur terre ...

« Ainsi, le Royaume de Dieu est comme un homme qui aurait semé en terre.

Qu'il dorme ou qu’il soit éveillé, nuit et jour, la semence germe et grandit sans qu’il sache comment.

Spontanément, la terre porte du fruit. D’abord de l’herbe, ensuite l’épi, puis plein de blé dans l'épi.

Quand le fruit est mûr, on passe la faucille, car la moisson est prête. » (Marc 4.26-29)

Car ce que le Seigneur a semé arrivera à son terme :

« Le Royaume des cieux est semblable à un grain de moutarde qu'un homme prend pour le semer dans son champ.

Celle qui est la plus petite de toutes les semences, est la plus grande des plantes potagères en grandissant. Elle devient un arbre, si bien que les oiseaux du ciel viennent faire leurs nids dans ses branches. » (Matthieu 13.31-32 - Marc 4.31-32 - Luc 13.18-19)

Certes, les mauvaises herbes auront aussi leur propre croissance aux côtés des bonnes, mais il n'est pas nécessaire de les éliminer avant terme :

« Laissez croître les deux ensemble jusqu’à la moisson, et, au temps de la moisson, je dirai aux moissonneurs :

Recueillez d’abord les ivraies, et liez-les en bottes pour les brûler, mais rassemblez le blé dans mon grenier. » (Matthieu 13.30)

Chaque chose en son temps !

« L’ennemi qui les a semées, c’est le diable. La moisson, c’est la fin des temps ; les moissonneurs, ce sont des anges. » (Matthieu 13.39)

En attendant, il importe que les disciples demeurent profondément attachés à leur Seigneur :

« Moi, je suis la vigne, vous les sarments. Celui qui demeure en moi, et moi en lui, porte du fruit en abondance, car sans moi vous ne pouvez rien faire. » (Jean 15.5)

Et ceci malgré bien des tourments :

« Si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï en premier. » (Jean 15.18)

Il y aura, et c'est nécessaire, des personnes investies par le Seigneur qui s'entendront dire comme Pierre :

« Fais paître mes agneaux. » (Jean 21.15)

Mais il ne faudra pas se décourager face à l'adversité car l'évangélisation a ses limites, comme nous le démontre la parabole du semeur ...

« Pour celui qui écoute la parole du Royaume et ne la comprend pas, le Mauvais arrive et ravit dans son cœur ce qui a été semé : c'est lui qui est ensemencé au bord du chemin.

Celui qui a reçu la semence sur les pierrailles est celui qui, entendant la parole, la reçoit aussitôt avec joie. N'ayant pas de racine en lui-même, cela sera de courte durée. Quand vient l'affliction ou la persécution à cause de la parole, il tombe aussitôt.

Celui qui reçoit la semence dans les épines a entendu la parole mais l'inquiétude des temps et la richesse trompeuse étouffent la parole et lui ôtent son fruit.

Mais celui qui est ensemencé dans la bonne terre écoute et comprend la parole. C'est lui, certes, qui porte du fruit : l'un cent, l'autre soixante, l'autre trente. » (Matthieu 13.19-23 - Marc 4.15-20 - Luc 8.12-15)

Il ne faudra pas non plus se décourager face aux épreuves et tenir jusqu'au bout :

« Cette bonne nouvelle du Royaume sera proclamée dans l'ensemble du monde habité, en témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » (Matthieu 24.14 - Marc 13.10 - Luc 21.13)

Forts des enseignements de Jésus, investis par la foi, les disciples ont vu Jésus monter au ciel.

Eux sont restés sur terre, et : « pour leur part, ils partirent prêcher partout. » (Marc 16.20)

Ils sont partis prêcher partout, et pour longtemps !

Car avant d'arriver au terme de cette prédication, afin que le Seigneur revienne instaurer Son Royaume sur terre :

« Il faut d'abord que l'Evangile soit proclamé à toutes les nations. » (Marc 13.10)

Certes, il reste bien peu de terres inconnues, mais tout le monde n'a pas accès à l'Evangile même si les moyens modernes de communication sont largement accessibles.

Ainsi, la mission des disciples se poursuit depuis deux mille ans afin de donner à l'Evangile sa dimension universelle.

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Récapitulatif

des versets cités

dans leurs contextes

1 ... Luc 3.1-18

2 ... Marc 1.14-15

3 ... Matthieu 4.23-25

4 ... Marc 1.32-39

5 ... Luc 4.40-44

6 ... Matthieu 9.9-13

7 ... Marc 2.13-17

8 ... Luc 5.27-32

9 ... Matthieu 15.21-28

10 ... Marc 7.24-30

11 ... Matthieu 22.1-14

12 ... Luc 14.15-24

13 ... Matthieu 21.33-46

14 ... Marc 12.1-12

15 ... Luc 20.9-19

16 ... Matthieu 9.14-17

17 ... Marc 2.18-22

18 ... Luc 5.33-39

19 ... Jean 10.7-21

20 ... Luc 12.49-50

21 ... Jean 12.20-26

22 ... Jean 12.27-32

23 ... Matthieu 26.26-29

24 ... Marc 14.22-25

25 ... Luc 22.14-20

26 ... Matthieu 4.18-22

27 ... Marc 1.16-20

28 ... Luc 5.1-11

29 ... Luc 8.1-3

30 ... Matthieu 7.1-7

31 ... Matthieu 9.35-38

32 ... Matthieu 16.24-28

33 ... Marc 8.34-38

34 ... Luc 9.23-27

35 ... Matthieu 8.18-22

36 ... Luc 9.57-62

37 ... Luc 14.25-35

38 ... Matthieu 25.14-30

39 ... Luc 18.11-27

40 ... Matthieu 10.5-15

41 ... Marc 6.7-13

42 ... Luc 9.1-6

43 ... Luc 10.1-12

44 ... Jean 9.1-41

45 ... Matthieu 5.13-16

46 ... Marc 4.21-23

47 ... Luc 8.16-17

48 ... Matthieu 26.6-13

49 ... Marc 14.3-9

50 ... Jean 17.1-26

51 ... Jean 20.19-23

52 ... Matthieu 28.16-20

53 ... Marc 16.15-20

54 ... Luc 24-44-49

55 ... Marc 9.38-41

56 ... Luc 9.49-50

57 ... Luc 13.6-9

58 ... Matthieu 20.1-16

59 ... Marc 4.26-29

60 ... Matthieu 13.31-35

61 ... Marc 4.30-34

62 ... Luc 13.18-21

63 ... Matthieu 13.24-30

64 ... Matthieu 13.36-43

65 ... Jean 15.1-17

66 ... Jean 15.18-27

67 ... Jean 21.15-19

68 ... Matthieu 13.1-23

69 ... Marc 4.1-20

70 ... Luc 8.4-15

71 ... Matthieu 24.1-14

72 ... Marc 13.1-13

73 ... Luc 21.5-19

74 ... Marc 16.19-20