AVOIR LA FOI EN DIEU ... CROIRE EN JESUS CHRIST


Le pardon.

Deuxième épître aux Corinthiens (2.10 ~ Traduit du grec) :

« A qui vous pardonnez, je pardonne aussi.

Car ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose,

c’est à cause de vous, sous le regard du Christ. »

LA BIBLE

AU QUOTIDIEN

Lecture du

23 Septembre


Le pardon porte une dynamique puissante qui génère des réactions en chaîne.

Au terme d'un conflit évoqué par Paul dans sa seconde lettre aux Corinthiens, l'apôtre s'en remet au pardon qui doit être décidé en faveur d'un des membres de l'Eglise de Corinthe.

Ce principe est conforme à la volonté du Seigneur qui s'adressait aux disciples en ces termes :

« Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés. Ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. » (Jean 20.23)

Jésus nous a remis une arme contre Satan : le pardon.

Car celui-ci veille pour nous entraîner en dehors de cette sainte voie d'amour.

« Ainsi, ne soyons pas dupes de Satan, car nous n’ignorons pas ses intentions. » (verset 11)

C'est une puissance dans la foi que Jésus a confiée à tous Ses disciples, à l'ensemble des croyants qui reçoivent l'Esprit d'amour dans leur cœur.

Le pardon peut susciter des miracles par des guérisons spectaculaires de l'âme.

Il permet à des individus qui s'évitaient, à des familles déchirées de se retrouver dans la joie et la grâce de Dieu.

Le chrétien qui pardonne est ainsi associé, pendant sa vie terrestre, à l'œuvre de Dieu, seul juge souverain, avant d'être associé au jugement céleste.

« Ne savez-vous donc pas que les saints jugeront le monde ? » (1 Corinthiens 6.2)

Le pardon nous délivre de l'amertume, il nous libère de la rancoeur, et il évite à celui qui a péché à notre encontre un jugement ultérieur sur le fondement des offenses que nous n'aurions pas effacées.

Paul a ensuite écrit aux chrétiens de Corinthe :

« Examinez-vous vous-mêmes pour savoir si vous êtes dans la foi. Eprouvez-vous vous-mêmes. » (2 Corinthiens 13.5)

Cette autocritique est nécessaire notamment lorsqu'il demeure en soi des "zones de non pardon". C'est notamment nécessaire avant de partager le repas du Seigneur :

« Que chacun s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe. » (1 Corinthiens 11.28)

Satan n'aime pas le pardon ... il n'en espère aucun pour ce qui le concerne.

Son terrain de prédilection c'est la jalousie, l'orgueil, la rancune, l'amertume et la haine.

Ne laissons pas Satan prendre l'avantage sur nous en refusant de pardonner à notre entourage !

Le pardon en Jésus Christ

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Le pardon

Seconde épître aux Corinthiens

Traduit du grec : versets 2.1 à 2.17

1. Quant à moi, j'ai décidé de ne pas retourner chez vous dans la tristesse.

2. Car si je vous attriste, qui me donnera de la joie ? Celui que j'attriste le pourrait-il ?

3. J'ai même écrit ceci : "en venant, je ne veux pas éprouver de la tristesse de la part de ceux dont je devrais me réjouir". Je suis persuadé, en ce qui vous concerne, que ma joie est aussi la vôtre à tous.

4. Aussi vous ai-je écrit en pleine détresse, le cœur chargé d'angoisse, débordant de larmes, non pour vous attrister, mais afin que vous sachiez tout l'amour que je vous porte.

5. Si quelqu’un a causé de la peine, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer.

6. Pour un tel individu, il suffit du blâme infligé par le plus grand nombre.

7. De sorte que, au contraire, vous devez plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par un plus grand chagrin.

8. C'est pourquoi je vous exhorte à faire preuve d'amour envers lui.

9. Car c'est aussi pour cela que je vous ai écrit : pour savoir, en vous mettant à l’épreuve, si vous êtes obéissants en tout.

10. A qui vous pardonnez, je pardonne aussi. Car ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose, c’est à cause de vous, sous le regard du Christ.

11. Ainsi, ne soyons pas dupes de Satan, car nous n’ignorons pas ses intentions.

12. Je suis venu à Troas pour annoncer l’Evangile du Christ, car le Seigneur m’y avait ouvert une porte.

13. Mais je n’ai pas eu l’esprit en repos parce que je n'ai pas trouvé Tite, mon frère. Après avoir pris congé d’eux, je suis parti pour la Macédoine.

14. Grâce soit rendue à Dieu, Lui qui, par le Christ, nous conduit en tout temps dans Son triomphe et répand avec nous, en tout lieu, le parfum de Sa connaissance.

15. Car nous sommes, pour Dieu, l'odeur agréable du Christ, parmi les sauvés comme parmi les perdus.

16. Pour les uns, c'est une odeur de mort qui conduit à la mort, pour les autres, l'odeur de vie qui mène à la vie. Qui est donc qualifié pour faire cela ?

17. Car nous ne sommes pas comme la plupart qui bradent la parole de Dieu. C'est avec sincérité, de la part de Dieu, à la face de Dieu et dans le Christ que nous parlons.

Seconde épître aux Corinthiens
3.1 à 3.18 >>>